Les parachutistes du 8ᵉ RPIMa de Castres, à Cugnaux (Haute-Garonne), le 17 janvier 2019. FREDERIC SCHEIBER / SIPA Deux semaines après le dépôt de quatre plaintes, le vendredi 9 mai, pour « violences volontaires », « menaces », « harcèlement moral » ou encore « mise en danger de la vie d’autrui » émanant de militaires passés par le prestigieux 8ᵉ régiment de parachutistes d’infanterie de