Quand Marlene Dietrich monte sur une scène de l’Exposition universelle d’Osaka, le 8 septembre 1970, et qu’elle entonne Lili Marleen dans sa robe de soie, Jōtarō Shōji est dans la foule. Il est ému, des étoiles plein les yeux devant son premier music-hall, lui, le gamin d’un milieu pauvre monté à la grande ville. Pourtant, ce jour-là,