Pour Clinton, la musique a toujours été dès l’enfance le medium le plus approprié. Ayant été guidé en ce sens par un père mélomane qui lui a inculqué toutes les orientations musicales accessibles. Notamment comme un adepte de Radio Métropole, connue pour ses explorations plurielles et exotiques. En plus d’habiter dans la zone de Martissant d’alors, grenier de multiples sonorités latines. Dont le jeune C.B s’est bien abreuvé. Prenant de plus en plus de l’intérêt dans le milieu du spectacle. Jusqu’à se faire initier à la basse et au piano par des monstres sacrés comme Dadou Pasquet et Boulo Valcourt. Bien que ce soit la voix qui s’est révélée son instrument de prédilection. En s’attelant à se concocter un style infus de sa passion pour les gosiers de : Dadou Pasquet, Joël Widmaïer, Patrick St Eloi, Jean Philippe Martelly qui sont ses idoles.